Las Vegas

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Ich schiebe mein Velo auf die Stasse, setze mich drauf und will losfahren. Nein, irgend stimmt nicht. Der Blick nach hinten bestätigt. Halb platt. Nach über 2000 km der erste, das kann man akzeptieren. Und dann noch bei Sonnenaufgang ohne Regen nicht kalt. Ich wechsle den Schlauch und fahre weiter durch die Prärie. Den alten Schlauch repariere ich am Abend. Ich durchfahre das Gebiet der Apachen. Die Abenteuer der Kindheit mit Old Scheterhand als Vorbild (Karl May Romane).

Irgendwann komme ich an eine Kreuzung. Nach Westen geht’s weiter der Route 66 entlang. Ich fahre aber nach Osten, nach Las Vegas. Nein, ich gehe nicht spielen, der nächste Blogartikel wird nicht davon handeln, wie ich in der Gosse sitzend das Geld für die Rückfahrt erbettle. Es ist Las Vegas New Mexiko, eine Kleinstadt mit einem richtig schönen Zentrum. Früher mal wichtig als Eisenbahnknotenpunkt. Da treffe ich auch wieder auf die anderen 5 Rennradler. Wir trinken ein Bier zusammen.

Je pousse mon vélo sur la route, m’assieds sur la selle pour partir, mais quelque chose n’est pas comme d’habitude.  Un regard vers l’arrière confirme mon impression. Mon pneu est à moitié dégonflé. Première crevaison après 2000 km, je peux l’accepter. Et cela m’arrive au lever de soleil, sans pluie et il ne fait pas froid. Je change la chambre à air et roule à travers la prairie.  Je réparerai la chambre à air ce soir. Je traverse le territoire des Apaches. Je me rappelle les histoires d’indiens que je lisais enfant avec Old Scheterhand en héros (romans de Karl May).

A un moment donné j’arrive à un croisement. Direction ouest, la Route 66 continue. Mais je prends à l’est, direction Las Vegas. Non, je ne vais pas aller jouer et le prochain billet du blog ne racontera pas comment je mendie pour trouver l’argent pour continuer mon voyage.  Il s’agit de Las Vegas New Mexico, une petite ville avec un très joli centre ville. A l’époque, cette ville a été un important nœud ferroviaire.  J’y rencontre mes cinq coéquipiers et nous buvons une bière ensemble.  

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Gerüchten zufolge sollen Hubert und Rüdiger in ein schweres Gewitter geraten sein und von einem Lastwagen gerettet worden sein. Aber das sind ungesicherte Gerüchte. Vielleicht haben sie sich nur bei Regen unter gestellt und ein Pickup hat sie ins nächste Motel gebracht. (Falls ihr beiden das liest, schreibt doch was wirklich war.)

Meine Rennradler haben ein Hotel in einem schönen antikem Gebäude. Etwas neidisch fahre ich auf den Campingplatz zurück.

Am Morgen mache ich halt vor dem Kentucky Fride Chicken. Die haben ein offenes Wi-Fi. Zurück wieder zur Route 66. Die Gegend wird rauer. Weniger Weideland, mehr Wald. Ich bin schon über 2000 Meter. Seit Oklahoma steigt es an. Erste gemächlich dann immer mehr. Aber nie wirklich steil.

Selon la rumeur, Hubert et Rüdiger ont essuyé un orage extrêmement violent et ont été sauvés par un routier. Mais ce n’est qu’une rumeur. Peut-être qu’ils se sont simplement abrités lors d’un orage et qu’un routier les a amenés jusqu’au prochain motel. (Au cas où les deux liraient le blog, merci de nous dire de quoi il retourne). 

Mes coéquipiers ont pris un hôtel situé dans un beau bâtiment ancien. C’est un peu envieux que je retourne à la place de camping. 

Au matin, je fais une petite halte devant le Kentucky Fried Chicken, car ils ont un WiFi ouvert. Puis retour sur la Route 66. Le vent contraire devient de plus en plus fort. Moins de pâturage, davantage de forêts. Je suis déjà à plus de 2000 mètres. Cela monte depuis Oklahoma. D’abord tout tranquillement, puis de plus en plus, mais jamais vraiment raide.    

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Bei Ausgrabungen aus der Antike, das heißt hier 500 Jahre mache ich halt und schaue mir Museum und Ausgrabungen an.

Zwischendurch treffe ich immer wieder auf die Rennradler. Logisch wenns nur alle 50km eine Kneipe hat. Die meisten versichern mir das sie es schade fänden, das ich weniger häufig mit ihnen bin. Ich glaube das hat noch Zeit.

Auf einer Waldlichtung abseits der Strasse finde ich wieder einen perfekten Platz zum schlafen.

Je m’arrête pour visiter des fouilles antiques (ici, le mot antique accolé à fouilles se réfère à une période vieille de 500 ans) et le musée.

En cours de route, je croise régulièrement mes coéquipiers. Logique lorsqu’il y a un restaurant tous les 50 km. La plupart d’entre eux m’assurent qu’ils trouvent dommage que je ne sois pas plus souvent avec eux. Mais je crois qu’il faut attendre encore un peu.

Dans une petite clairière près de la route, je trouve une place parfaite pour la nuit. 

 

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