Texas

Die Landschaft ist wieder Flacher, die Felder größer und es hat kaum mehr Wald. Trocken kommen wir in McLean an. Ein kleiner Ort mit Motel und Restaurant. Abends beginnt es heftig zu Regnen und am Morgen beginnt das beobachten des Regenradars. Um 8h können wir losfahren. Es regnet zwar nicht mehr aber für die Feuchtigkeit sorgt ein dichter aufziehender Neben. Man sieht keine 100 Meter weit und wieder mal auf der Autobahn. Gegen Amarillo hellt es auf.

Le paysage est à nouveau plat, les champs sont plus grands et il n’y a presque plus de forêts. Nous sommes secs lorsque nous arrivons à McLean. Une petite bourgade avec un motel et un restaurant. Le soir, il commence à pleuvoir dru et le matin, nous étudions le radar des intempéries. Nous pouvons partir à 8 heures. Il ne pleut plus, mais il y a tellement d’humidité qu’un épais brouillard nous enveloppe. On ne voit rien à 100 mètres et nous roulons à nouveau sur l’autoroute. Vers Amarillo, le brouillard se dissipe.

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Lange warte ich auf die anderen. Motels und Restaurants hats zur genüge. Nach 3 Stunden bekomme ich ein Telefon : sie sind einen anderen Weg gefahren und seien in einem Holiday In ausserhalb des Zentrums. Es passt mir gar nicht aber ich lasse mich doch breitschlagen eine Nacht dort zu verbringen. Das ich am nächsten Tag schon wieder weiter will passt nicht allen. Es gibt größere Diskussionen. Einer möchte mich nicht mehr in der Gruppe. Die Anderen sehen das zwar anders, aber der eine hat Schwierigkeiten andere Meinungen neben der seinen zu akzeptieren und so ziehe ich alleine los. Ob ich die Anderen wieder treffe ist noch nicht klar. Es macht mich schon etwas traurig so weiter zu ziehen aber vielleicht beruhigt sich die Situation auch wieder in ein Paar Tagen.

J’attends longtemps les autres. Il y a suffisamment de motels et de restaurants. Trois heures plus tard, je reçois un téléphone: ils ont pris une autre route et sont maintenant dans un Holiday Inn  loin du centre. Cela ne me convient pas du tout, mais je me laisse convaincre de les rejoindre et de passer la nuit là-bas. Que je veuille déjà repartir dès le lendemain ne convient pas à tous.  S’ensuivent de grandes discussions. L’un ne me veut plus dans le groupe, mais les autres sont d’un autre avis. Le problème est que celui qui ne me veut plus dans le groupe peine à entendre d’autres avis que le sien. Je repars donc tout seul. Ce n’est pas très clair si je vais revoir les autres. Cette situation me rend un peu triste, mais peut-être que cela va se calmer les prochaines jours.

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Amarillo, eine Stadt mit doch 200000 Einwohnern ist am Samstagmorgen 11h völlig ausgestorben und so fahre ich zwischen den Regebgüssen weiter.

Die Cadillac Farm. Ein Kunstwerk auf das ich mich schon seit längerem freue. 7 Cadillacs, die Flossen in die Höhe, auf einem Feld stehen. Man kommt mit einer Spraydose hierher um sich zu verewigen. Die Ewigkeit dauert aber nicht lange. Mehrmals im Jahr werden cm dicke Farbschichten abgekratzt.

Amarillo compte 200000 habitants et malgré tout, le samedi matin à 11 heures, elle est comme morte.

La Cadillac Farm. Une oeuvre d’art que je me réjouissais depuis longtemps de voir. 7 Cadillacs, les ailerons à l’air, sont plantées dans un champ. On vient ici avec un spray de couleur et on les peint. Toutefois l’oeuvre d’art ne dure pas éternellement. Plusieurs fois par an, on gratte quelques centimètres de peinture.

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Nach nur 40km hats ein Motel mit Restaurant daneben und ich beziehe grad noch vor dem nächsten Regen mein Zimmer. Zeit für eine große Wäsche. Ich mach das so, das ich mich bekleidet unter die Dusche stelle, mich gut einseife, eine Schicht ausziehe, wieder einseife usw. bis ich nichts mehr anhabe. 

Morgen gehts nach New Mexiko. Da soll es dann erst mal etwas gebirgig werden und auch wieder sonniger. Inshalla.

Après seulement 40 km, je m’arrête dans un motel avec restaurant et obtiens une chambre juste avant qu’il ne se remette à pleuvoir.  Il est temps de faire une grande lessive. je mets tous mes habits et vais sous la douche. Je me savonne bien, enlève une couche et recommence à savonner la couche suivante. Et je continue comme ça jusqu’à ce que je sois tout nu.

Demain je pars pour New Mexico.  Le parcours devrait à nouveau être vallonné et le soleil est annoncé. Inch Allah!

3 Gedanken zu „Texas

  1. Deine Kleiderwaschmethode ist ja sehr eindrücklich, merk ich mir. Ist das Zeug dann so schnell trocken oder gehst du dann „blutt“ im Motel rum?
    Beat Wittwer

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