Route 66 ade / Route 66 adieu!

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Die Weiterfahrt am Morgen geht dann wirklich mehrheitlich bergab. Kleine gegensteigungen aber das ist OK. Dann noch durchs Gossstadtgewühl. So wie ich reinkomme ist auch das ganz erträglich. Ich fahre durch Beverli Hills und Hollywood, treffe aber keinen der grossen Bekannten.

Mon trajet, au matin, est majoritairement en montée. Pas trop raide, alors ça va.  Puis je roule dans la grande ville. Mais là encore, ça va. Je traverse Beverli Hills et Hollywood, mais je ne rencontre aucune personne connue.

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Ich habe mir vorgenommen in Santa Monica zu schreiben, Die Route 66 ist gemacht, mit Ausnahme zweier Platten ohne Panne. Und während ich mir das so denke – krack – die Kette ist gerissen. 14 km bevor ich am Santa Monica Peer ankomme.Einen Kettennietendrücker hab ich nicht, also versuche ich das Ganächstennze mit einem Stein zusammenzuschlagen und es hällt. 100 Meter. Es bleibt mir nichts anderes übrig als mich draufsetzen und mit den Füssen anzugeben. 3 Meilen bis zum nächsten Velomech.  Er hat keine Ketten und kein Werkzeug für Kette. In einem Verkaufsgestell entdecke ich den gesuchten Kettennietendrücker. Er schaut ihn erstaunt an und verrechnet mir 10$. Zum Glück hat er keine Ahnung von Velos, so lässt er mich die Arbeit selber machen und eine halbe Stunde später bin ich wieder auf der Strasse.

Nach ein paar wenigen Meilen erreiche ich dann doch noch Santa Monica. Salut Jean-Pierre, ruft es als ich auf den Peer fahre. Es ist ein Pansioniertes friburger Ehepaar, das ich ein paar Tage zuvor im Bagdad Cafe getroffen habe, das mich begrüsst. Kurz darauf spreche ich jemanden an, damit er mir mein Ankunftafoto macht. Sein Akzent kommt mir bekannt vor. Aus Zürich, gestern angekommen. Eine weile schaue ich dem Rummel zu, aber dann zieht es mich weiter.

Tout en roulant les derniers km, je réfléchissais à ce que j’allais écrire une fois arrivé à Santa Monica: La Route 66 était finie… j’étais arrivé sans panne à l’exception de deux crevaisons… et crac… ma chaîne se casse. A 14 km de Santa Monica Peer. Je n’ai pas le bon outil pour réparer ma chaîne, alors j’essaye avec un caillou; ça tient… 100 mètres. Il ne me reste plus qu’à descendre de mon vélo et à continuer à pied. 3 km jusqu’au prochain magasin de vélo. Il n’a pas de chaîne, ni d’outils pur réparer une chaîne. Sur une étagère, je découvre l’outil qu’il me faut. Le vendeur regarde mon achat avec étonnement et me le facture 10$. Vu qu’il n’a aucune idée de comment réparer ma chaîne, il me laisse faire le travail et une demi-heure plus tard, je suis à nouveau sur la route.

Quelques miles plus tard, j’arrive enfin à Santa Monica. „Salut Jean-Pierre“ entends-je alors que je roule sur le Peer. C’est un couple fribourgeois rencontré il y a quelques jours au Bagdad Café qui me salue. Un peu plus tard, quelqu’un propose de me prendre en photo à l’arrivée de la fin de la Route 66 et son accent me semble connu. Un Zurichois, arrivé hier. Je reste un moment à regarder la foule, puis je m’éloigne.    

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Ich will einen schönen Platz am Pacific finden, wo ich mich für 1, 2 Tage ausruhen kann.

Viel Verkehr hat es auf dem Hiway 1. Ich hoffe das legt sich bald. Dann kommen mir wieder 2 bekannte Gesichter entgegen. Es sind Christophe und Pascal, die beiden französischen Töfffahrer. Sie sind auf dem Rückweg nach LA wo sie morgen ihre Motorräder zurückgeben und nach Hause fliegen. Es ist jetzt schon das 3. mal, das wir uns treffen. Natürlich trinken wir noch ein Abschiedsbier zusammen.

Je veux trouver une jolie place au bord du Pacifique où je peux me reposer un-deux jours. 

Il y a beaucoup de trafic sur la Hiway 1. J’espère que cela se calmera bientôt. Et voilà que je croise deux visages connus. Ce sont Christophe et Pascal, les deux motards français. Ils sont en route pour retourner à LA où, demain, ils vont rendre leurs motos et prendre l’avion pour rentrer à la maison. C’est déjà la troisième fois que nous nous rencontrons. Et bien sûr, nous buvons une bière pour fêter leur départ.  

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Langsam wird es späht für mich. Es sind noch 20 Meilen bis zu meinem State Park Campground, aber es sollte doch noch vor einbruch der Dunkelheit zu schaffen sein. Mal was neues für mich, ein Zeltplatz wo man nicht alleine ist. Mit 2 Radlern die den Hiway 1  Nord Süd machen sitze ich zusammen. Sie geben mir ein paar Tipps, vor allem auf welchen Campings es Duschen hat.

Ein anderes Problem beginnt sich zu zeigen. Die Solarzelle, die ich auf dem Velo mitführe, hat schon lange den Geist aufgegeben. Das war kein Problem solange ich immer wieder in Motels übernachtet habe. Auf den State Campgrounds hat es aber meistens keinen Strom und nach 3 Tagen ist mein Vorrat aufgebraucht. Das bedeutet immer dran denken bei Restaurantbesuchen.

Il commence à se faire tard. Il y a encore 20 miles jusqu’au camping State Park Campground, mais je devrais facilement pouvoir les faire avant la tombée de la nuit. Quelque chose de nouveau pour moi: un camping où je ne serai pas tout seul. Je rencontre 2 cyclistes qui font le Hiway 1 du nord au sud. Ils me donnent quelques conseils, entre autres les adresses de campings où il y a des douches.  

J’ai maintenant un autre problème. Les cellules solaires fixées à mon vélo ont rendu l’âme depuis longtemps. Ce n’était pas un problème tant que je dormais régulièrement dans un hôtel. Sur les State Park Campground, il y a rarement de l’électricité et ma réserve de batterie dure trois jours. Cela signifie que je vais devoir systématiquement y penser lorsque je fais une pause au restaurant. 

 

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